Ce que Tony Blair ne veut pas nous dire sur le Coran

British National Party

Je me suis procuré un exemplaire du Coran, et j'ai commencé à rechercher par moi-même ce qui se trouve dans le livre qui domine et qui guide les coeurs et les esprits d'un milliard de musulmans dans le monde. 

J'ai commencé par regarder le passage qui a été cité encore et encore depuis le 11 septembre, y compris par George Bush, Tony Blair, Iain Duncan-Smith et une interminable série de journalistes: «Celui qui tue une âme est comme celui qui tue toute l'humanité». Cette phrase est au coeur de la campagne Politiquement Correcte destinée à empêcher que la fièvre guerrière dirigée contre les terroristes islamiques ne conduise à une explosion d'hostilité contre tous les musulmans. Après tout, n'est-ce pas une preuve évidente que l'Islam est fondamentalement une religion pacifique et une religion d'amour? En somme, le christianisme avec un keffieh sur la tête? 

En effet, cela le serait, si cette citation était authentique. Mais le problème est que cette citation est une fabrication Politiquement Correcte. Lisez simplement ce que dit réellement la sourate 5, ayat [verset] 32: 

Celui qui tue une âme, sauf si c'est en représailles pour une âme ou (pour) corruption dans le pays, est comme celui qui tue toute l'humanité; et celui qui sauve une vie est comme celui qui sauve les vies de toute l'humanité. Nos messagers vinrent à eux avec la preuve évidente, mais ensuite beaucoup d'entre eux continuèrent à commettre des excès dans le pays. 
Donc, loin de toujours interdire le meurtre, cela est autorisé selon la loi du «oeil pour oeil» dans un cas de meurtre, ou dans le cas de «corruption dans le pays». Pour éviter qu'on pense que cela sera un sujet d'inquiétude seulement pour le Trésorier général du New Labour [Parti Travailliste de Tony Blair], l'ayat suivante continue ainsi: 
«En effet, la punition de ceux qui combattent Allah et Son Messager et vont en corrompant le pays est d'être tués, crucifiés, d'avoir leurs mains et leurs pieds coupés des deux cotés, ou d'être bannis du pays. Cela est une honte pour eux dans cette vie, et dans la vie à venir pour eux il y aura une terrible punition». 
Ce qui signifie très clairement que si le Coran enseigne à ses fidèles de respecter le caractère sacré de la vie des autres bons musulmans, ceux qui «combattent Allah et Son Messager [c'est-à-dire Mahomet]» doivent être tués et mutilés, ou bannis. Environ 5 000 personnes dans le World Trade Center ont eu droit à l'Option Numéro Un, beaucoup d'entre eux presque à la lettre. 

La lecture la plus superficielle du Coran révèle que, pour un bon musulman, les actions et les omissions des gouvernements-clés de l'Occident -- en particulier les Etats-Unis et le Royaume-Uni -- et des divers usuriers et exploiteurs des pauvres au World Trade Center, les désignent en effet comme anti-Allah et corrupteurs de pays. Les malheureux balayeurs et cuisiniers doivent probablement être comptés comme dommages collatéraux. 

Mais sûrement, disent les occidentaux élevés dans des idées chrétiennes à demi-oubliées de pardon et de comportement chevaleresque envers les non-combattants (malgré Hiroshima et Dresde et un millier d'autres exemples), Allah ne condamne-t-il pas la mort de civils innocents dans une telle guerre sainte? Eh bien, voici les vues d'Allah sur les dommages collatéraux. Comme vous allez le voir, c'est encore plus clair et plus franc que George Dubya: 

Sourate 27, ayat 48: «Et dans la cité il y avait neuf individus, qui répandaient la corruption dans le pays et qui ne faisaient pas les choses justes ...». Ayat 50: «Ils firent un complot et Nous fîmes un complot, pendant qu'ils étaient inconscients». Ayat 51: «Voyez ce que fut le résultat de leur complot: Nous les détruisîmes avec tout leur peuple». Ayat 52: «Leurs maisons sont en ruine, en raison de leur mauvaise conduite. C'est un signe pour celui qui sait». Ayat 53: «Et nous avons délivré ceux qui étaient croyants et qui craignaient Dieu». 

La signification des ayats 48, 50, 51 et 52 est facile à voir. La 53 demande un peu plus de réflexion. Elle dit au dévot musulman qu'il ne peut pas y avoir eu de victimes innocentes de toute manière (même ceux qui proclamaient être musulmans mais qui étaient à la solde du Grand Satan), parce que Allah les a délivré en terminant le travail avec eux ce jour-là. 

Il existe quelques références aux incroyants, qui recommandent la tolérance et affirment que la croyance religieuse d'un individu, ou son manque de croyance, est une question personnelle entre lui et Allah. Mais ces passages pluralistes sont largement dépassés en nombre par la condamnation des incroyants typiquement exprimée par la sourate 67, ayat 9: «O Prophète, combat les incroyants et les hypocrites, et traite-les durement. Leur refuge sera l'Enfer, et quel mauvais lieu!». 

La très raisonnable sourate 10, ayat 99 demande aux musulmans: «Si votre Seigneur l'avait voulu, tout le monde sur terre aurait été croyant. Contraindrez-vous alors les gens à devenir des croyants?». 

Mais seulement quelques pages avant, la même «parole de Dieu» exhorte le croyant à «combattre ceux des incroyants qui sont proches de vous et à leur montrer combien vous pouvez être dur» (sourate 9, ayat 123). Pas étonnant que certains musulmans soient réellement de bons voisins, alors que d'autres sont infernaux. Et le problème est que les passages infernaux sont bien plus nombreux que les passages oeucuméniques. 

La sourate 22 contient plus de «classiques»: 

Ayat 19: «Pour les incroyants, des vêtements de feu seront préparés et sur leurs têtes de l'eau bouillante sera versée». Ayat 20: «Tout ce qui est dans leurs entrailles et dans leur peau sera fondu». Ayat 21: «Et pour eux il y aura des tiges de fer» (qui, comme l'explique une judicieuse note en bas de page dans mon édition du Coran, sont destinées à «frapper leurs têtes»). 
Cette vision rappelant une émeute à Bradford n'est pas seulement un motif de damnation dans l'au-delà. Le Coran contient aussi de fréquentes exhortations au Croyant musulman l'appelant à combattre les incroyants sur cette terre. 

La sourate 9 nous fournit quelques bons exemples. Ayat 38: «Ohé les croyants, où êtes-vous ? Si on vous dit: 'Avancez sur le Chemin d'Allah', vous restez lourdement collés au sol. Etes-vous satisfaits de la vie présente, plutôt que celle de l'Au-delà ?». Ayat 39: «Si vous n'avancez pas, Il vous infligera une très douloureuse punition». Ayat 41: «Précipitez-vous, à pied ou sur une monture, et combattez avec vos biens et vous-mêmes sur le Chemin d'Allah». 

De tels passages renforcent le message de la sourate 4, ayat 95: «Ceux des croyants qui restent à la maison sans recevoir de blessure ne sont pas égaux à ceux qui combattent pour la Cause d'Allah avec leurs biens et leurs personnes». 

Le message est répété régulièrement. Voici la sourate 9, ayat 29: «Combat ceux qui parmi les Gens du Livre ... ne professent pas la vraie religion [c'est-à-dire les juifs et les chrétiens], jusqu'à ce qu'ils payent le tribut de leur main et humblement». 

Ou la sourate 60, ayat 4: «Vous avez eu un bon exemple avec Abraham et ceux avec lui, quand ils dirent à leur peuple: 'Nous sommes débarrassés de vous et de ce que vous adorez en dehors d'Allah. Nous ne croyons pas en vous. L'inimitié et la haine ont grandi entre vous et nous pour toujours, jusqu'à ce que vous croyiez en Allah seul'.». 

Ce n'est pas seulement une question de «haine» en esprit. Le Coran la recommande aussi sous la plus violente forme de nettoyage ethnique: sourate 14, ayats 13 et 14: «Alors leur Seigneur leur révéla: 'Nous détruirons les Mauvais [ceux qui refusent de croire en Allah]. Et nous vous ferons habiter dans le pays après eux'». 

Sourate 59, ayat 2: «C'est Lui qui chassa les incroyants parmi les Gens du Livre [c'est-à-dire les juifs et les chrétiens] de leurs maisons à la première occasion». 

Sourate 33, ayat 60: «Si les hypocrites, ceux dont le coeur est malade et ceux qui répandent leurs mensonges dans la cité ne renoncent pas, Nous vous encouragerons contre eux et alors ils n'habiteront avec vous comme voisins que pendant un court instant». 

Le même thème se rencontre dans des passages de la sourate 33, avec l'ajout d'une promesse aux dévots musulmans que plus de pays tomberont sous leur domination dans le futur: 

Ayat 27: «Et Il vous légua leurs pays, leurs maisons et leurs biens, ainsi que le pays que vous n'avez jamais parcouru». 

Il y a de fortes chances pour que de nombreux membres de la communauté musulmane, étant parvenus à considérer des non-musulmans comme des amis, et à aimer leur pays d'adoption, aient envie d'effacer toutes ces stupides bigoteries de leurs esprits. Mais s'ils lisent le Coran -- ou leurs enfants, souvent endoctrinés -- ils trouveront de nombreux passages les mettant en garde contre la tentation de prendre des non-croyants pour amis et contre la tolérance nécessaire à la paix dans un Etat multiracial: 

Sourate 2, ayat 216: «Vous devez combattre, même si c'est quelque chose qui vous déplaît». Sourate 2, ayat 217: «Combattre [pendant le Mois Saint] est un grand péché; mais exclure les gens du Chemin sacré d'Allah et le rejeter ainsi que la Mosquée sacrée, et en faire sortir les gens est un péché plus grand au regard d'Allah. La sédition [c'est-à-dire l'idolâtrie et la corruption des musulmans) est pire que le meurtre». 

Si ceux qui interprètent le Coran littéralement (comme devraient le faire tous les bons musulmans, même si beaucoup -- heureusement pour eux et pour nous aussi -- ne le font pas) devaient commencer à mettre en pratique tous ces conseils sanguinaires dès qu'ils arrivent dans un nouveau pays, les natifs du lieu se réveilleraient probablement en sentant l'odeur de roussi. Mais Allah est sans cesse décrit dans Son livre comme un «comploteur», et la sourate 4, ayat 101 suggère que Son peuple est autorisé à suivre Son exemple pour éloigner le danger: «Et quand vous voyagez dans le pays, vous n'êtes pas en faute si vous écourtez la prière par peur que les incroyants ne vous nuisent, car les incroyants sont vos ennemis déclarés». 

Mais ce conseil est applicable seulement quand les musulmans sont trop peu nombreux pour avoir une chance de remporter le combat que le Coran recommande comme leur devoir religieux, dès que leur nombre s'accroît. Et ils n'ont pas besoin d'être en majorité si l'autre camp n'est pas prêt à la confrontation. Sourate 8, ayat 65: «O Prophète, appelle les croyants à combattre. S'il y a vingt hommes fermes parmi vous, ils en vaincront deux cent; et s'ils sont une centaine ils vaincront un millier d'incroyants, parce que ce sont des gens qui ne comprennent pas». 

Cette règle des 10% est-elle seulement un verset oublié dans un livre poussiéreux ? La réponse doit peut-être être recherchée dans des endroits comme Burnley et Bradford. [villes d'Angleterre où se sont produites de violentes émeutes raciales, NDT] 

Les coeurs tendres parmi notre propre peuple, ceux «qui ne comprennent pas» ce qui est en cours, objecteront sans doute que les musulmans «modérés» ont tendance à choisir et à suivre le petit nombre de versets tolérants plutôt qu'obéir au ton globalement agressif et intolérant. Beaucoup le font sans doute, mais ils sont mis en garde contre une telle tolérance de style occidental, d'une manière sans équivoque, dans la sourate 2, ayat 85: «Croyez-vous donc en une partie du Livre et pas en une autre? La récompense de ceux parmi vous qui agissent ainsi n'est que la honte ici-bas, et au Jour de la Résurrection ils subiront la plus sévère punition». 

Lors d'une rencontre très médiatisée à Downing Street avec des dirigeants auto-proclamés de la communauté musulmane, Tony Blair a prétendu qu'«il n'y a pas de contradiction entre être un musulman et être un citoyen britannique». 

Pour le musulman occidentalisé moyen qui pratique la religion familiale, sans lui accorder beaucoup de pensées, cela peut fort bien être le cas. Mais pour tout bon musulman qui lit le Coran et qui accepte sa prétention à être la parole littérale d'Allah, la situation est différente. Il y a plusieurs passages dans le Coran où il est ordonné aux musulmans de ne pas obéir aux incroyants, et ceci est utilisé par les fondamentalistes pour rejeter toute forme de gouvernement qui n'est pas une stricte théocratie exclusivement dirigée par des clercs musulmans. Quand de tels gens rejettent des dirigeants comme Saddam Hussein et Khadafi comme «non-islamiques», combien de chances y a-t-il pour qu'ils obéissent à la bande de sodomites et d'escrocs qui s'est donné le nom de «New Labour»? 

Sourate 3, ayat 149: «Ohé les croyants, si vous obéissez aux incroyants, ils vous feront tourner les talons (donc, dit le commentaire, ils vous feront tourner le dos à la vraie religion). 

Sourate 25, ayat 52: «Donc n'obéissez pas aux incroyants et luttez contre eux avec lui [le Coran] puissamment». 

Peut-être la plus pertinente de toutes dans les circonstances présentes, alors que la Grande-Bretagne est sur le point de partir en guerre contre un énorme nombre de musulmans à la remorque de nos «alliés» américains, est la sourate 9, ayat 73: «Car pour les incroyants, ils sont amis entre eux. Si vous ne faites pas cela (c'est-à-dire si vous ne soutenez pas les musulmans et si vous ne subjuguez pas les incroyants) il y aura une grande sédition et une grande corruption dans le pays». 

Une compréhension de ce que le Coran dit réellement -- contrairement à ce que le «menteur en série» Tony Blair prétend qu'il dit -- devrait conduire quiconque ayant une once de bon sens à réaliser qu'une population musulmane en croissance est une recette pour le conflit et la violence permanente, en particulier dans un pays où le Politiquement Correct empêche l'Establishment politique de fermer les portes au flot de l'immigration, de prendre des mesures pour inverser le courant, et à plus forte raison vis-à-vis d'une minorité qui voit l'expansion et la domination comme son devoir religieux. 


 

Manipulations Politiquement Correctes: les Juifs aussi

Dans le célèbre film «La liste de Schindler», on peut relever la manipulation suivante: 

Vers la fin du film, Schindler est montré recevant un anneau avec une inscription faite des mains des Juifs qu'il a secouru. On nous dit que l'inscription vient du Talmud: «Celui qui sauve une seule vie, sauve le monde entier» (cette citation apparaît aussi sur les affiches du film, dans les magasins de vidéo et dans les écoles, ayant apparemment été choisie comme devise du film par ses promoteurs). 

La citation a une teneur agréable, chaleureuse et humaniste, mais il y a juste un problème: ce n'est pas ce que dit le Talmud. Le véritable verset du Talmud affirme: «Celui qui préserve une seule âme d'Israël, l'Ecriture parle de lui comme s'il avait préservé un monde entier» (Tractate Sanhedrin, 37 a.). Le Talmud fait l'éloge seulement de celui qui sauve des vies juives. Dans la tromperie ininterrompue de Spielberg, même le contenu documenté des Livres Juifs est falsifié. 

--Michael Hoffmann 


 

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